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EXCLUSIF – Pour la première fois, l’unité d’élite de la gendarmerie a accepté d’ouvrir les portes de son atelier secret à une équipe de TF1. Des techniques de pointe parfois surprenantes y sont développées.

Une colonne de gendarmes longeant les murs, une tension palpable, une explosion et des cris. Nous sommes habitués à ces images montrant en action le GIGN, le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale. Mais avant ces interventions à hauts risques, de nombreux préparatifs se font en amont. Une équipe de TF1 a pu en observer les coulisses.

De l’atelier ultra-secret du GIGN au travail d’observations et de recherches de ses hommes, le reportage exclusif du 20H en tête de cet article vous fait découvrir les différentes étapes menant à l’intervention de cette unité d’élite.

Tout commence dans l’atelier du GIGN, qui ouvre pour la première fois ses portes à une équipe de télévision. Trois gendarmes y travaillent, créent et modifient des équipements. La seule limite est leur imagination. Le travail du bois et du métal côtoie la couture. La technologie de pointe s’accompagne de ruses de camouflage plus vraies que nature.

C’est le cas par exemple d’une souche de bois en résine, complètement creuse, mais hyper réaliste, permettant de cacher une caméra. Ce tronc-espion sera ensuite placé sur des lieux d’observation, camouflé dans le décor afin de recueillir des informations et surveiller des suspects.

Un travail de l’ombre qui aide donc ensuite les agents sur le terrain à mener aux arrestations. Jusqu’à la dernière seconde, la cible doit ignorer qu’elle est dans le viseur de l’unité, souvent depuis des mois. L’effet de surprise est capitale. Mais pour le conserver, le GIGN est doté de beaucoup d’autres moyens, qui resteront eux, secrets jusqu’à l’ultime seconde.

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Véritable lieu de rencontres entre opérateurs des forces spéciales et industriels, le Sofins, salon des forces spéciales, a les spécificités de sa clientèle : très exigeante, celle-ci ne commande que de petits volumes… Mais la compter dans son carnet de commandes est la garantie d’un prestige valorisable pour les fabricants d’équipements militaires.

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Les commandos du 13ème régiment de dragons parachutistes développent leurs capacités nautiques en se dotant de nouvelles embarcations semi-rigides.

Afin de répondre aux besoins de cette unité en matière de missions d’infiltration depuis la mer et à travers les fleuves, une première embarcation avait été acquise en 2008.

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Adapter certaines techniques des beaux-arts aux besoins des forces spéciales ? Loin d’être absurde, le principe est au coeur d’un nouveau type de camouflage conçu par l’adjudant-chef Julien, ancien du 13e régiment de dragons parachutistes (13e RDP), et dévoilé cette semaine au salon SOFINS.

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